Dans le cadre du prix du congrès des JF3S, je partage une intervention très intéressante de mon collègue de promo, lauréat du meilleur mémoire 2022, Nicolas Cesson.
Les émissions fontaines ou « squirting » ont une origine vésicale et un volume pouvant atteindre 500 ml ; elles sont associées au plaisir, parfois à l’orgasme.
C’est un phénomène très ancien (il est relaté il y a 4000 ans en Chine) et existe dans tous les pays.
L’étude réalisée par Nicolas rassemblent 3000 témoignages de femmes et de leurs partenaires issus de 80 pays.
C’est une étude quantitative et qualitative.
Il n’existe pas de profil type pour ces femmes.
Le premier épisode représente un évènement marquant dans la vie sexuelle de ces femmes. La réaction positive du partenaire est primordiale dans l’acceptation.
L’écoulement est lié au plaisir et au lâcher prise. Il varie en fonction du temps et les points négatifs (gêne, honte, peur de l’incontinence et peur de la réaction du partenaire) diminuent à distance de la première fois, ne laissant que la satisfaction, du plaisir et de l’apaisement.
Il ne faut pas la confondre avec l’éjaculation féminine, l’hyper lubrification vaginale ou l’incontinence urinaire.
Pour plus de renseignements, je vous invite à lire l’excellent travail de Nicolas via le lien suivant :